« Nous organisons un premier événement autour des thématiques de l’habitat, l’autonomie alimentaire et la gestion de l’eau. Il se veut ouvert à un large public, par le biais de conférences/débats, ateliers participatifs, spectacles, concerts, animations, exposants, activités pour les enfants et restauration. Autant d’espaces dédiés au partage et à la convivialité pour travailler ensemble sur de nouveaux imaginaires. »
L’entrée est à prix libre, car nous voulons rendre ces 3 jours accessibles à tous. Pour ceux qui souhaitent aider au financement de l’événement, il est encore temps !
Des ateliers sur la thématique du compostage seront animés par le Merlet à l’école élémentaire de Saint-Jean-du-Gard en septembre. En parallèle au collège, les élèves de 6éme mèneront un projet en lien avec le Parc Naturel des Cévennes et Cévennes 2050. Tous ces élèves restitueront leur travail le vendredi 17 octobre à la Convergence des Loutres.
Réalisé par Ali Alsheikh Khedr. Le film plonge au cœur de la lutte d’un collectif libanais pour reprendre le contrôle de ses semences et de son alimentation, à la suite de la catastrophe du port de Beyrouth en 2020, qui a révélé la fragilité du système alimentaire libanais. Ce film nous parle d’autonomie et le combat de ce collectif est universel. (Salle Stevenson)
Ce documentaire est proposé par l’association CCFD Terre Solidaire qui animera le débat à la fin de la projection. https://ccfd-terresolidaire.org/
Les concerts-bals // espace Paulhan sur parquet MIEL inédit de 400m² !
Quintet autour de Lian’g : Son violon chinois entraîne le groupe vers des grooves encore plus jazzy que dans le mythique trio ‘Plume’
Le groupe déballe son univers rocambolesque et coloré pour un live énergique et généreux.
Vacarme léger
SAMEDI 18 OCTOBRE
Accueil et inscriptions aux ateliers à partir de 9h à Paulhan Buvette et restauration sur place
Conférences et tables rondes
Le changement climatique augmente aujourd’hui la fréquence d’événements climatiques extrêmes: sécheresses plus longues, vagues de chaleur aux pics de températures plus élevés qu’autrefois, épisodes pluvieux plus intenses et un régime pluviométrique qui évolue. Dans un premier temps, on examinera ce qui a permis, par le passé, une tenure de l’eau durable. La montagne cévenole est entièrement construite. Terrasses, aiguières, paissières, trencats, béals, gourgues et mines d’eau ont impacté depuis des siècles la capacité du sol à retenir l’humidité ainsi que la répartition des eaux de ruissellement au travers de l’espace montagnard. Quelles leçons tirer de notre interaction passée avec l’eau? On enrichira nos conclusions avec un examen de ce qui a constitué une gestion durable de l’eau dans des pays méditerranéens plus arides que le nôtre. Qu’est-ce que cette «tenure de l’eau» qu’on retrouve partout où des communautés humaines ont pu construire une interaction durable avec l’eau? L’évolution de leur tenure de l’eau leur a permis de traverser les changements climatiques, économiques, démographiques depuis des siècles voire, parfois, des millénaires. Dans un second temps, on réexaminera notre rapport actuel à l’eau pour identifier ce qui constitue réellement une solution pour faire face à la crise climatique actuelle. On repérera les «fausses bonnes idées» qui constituent aujourd’hui autant de maladaptations au changement climatique. Enfin, dans un troisième temps, nous esquisserons des pistes pour aller vers un avenir meilleur. En cessant de traiter l’eau comme un stock, en acceptant qu’il s’agit d’un flux, en cessant de confondre besoin et demande, en cessant de confondre utilisation et consommation, nous pouvons construire une tenure de l’eau adaptée qui nous permettra de traverser le siècle à venir.
À l’aune de la dégradation généralisée des sols et de l’accélération des changements climatiques, comment permettre aux paysages de retrouver leur capacité à se comporter comme des éponges, c’est-à-dire à être en mesure de gérer aussi bien les manques d’eau que les excès d’eau? L’hydrologie régénérative (hydro-agroécologie) est aujourd’hui une solution éprouvée.
Le capitalisme est un processus continu d’expropriation et de destruction des capacités autonomes de subsistance, matérielles et culturelles. Jusqu’à menacer les capacités de régénération du vivant sous toutes ses formes. Résister et mettre au centre les activités de subsistance pour retrouver une autonomie matérielle et politique passe par l’institution concrète de communs au sens de propriétés communes et de règles d’usage collectives.
Un enjeu fort pour le territoire: la transmission et la reprise des fermes de notre région. Freins et perspectives. L’Addearg nous brossera un tableau des possibles en puisant dans ses propres données et dans les chiffres d’une étude régionale. Ou comment participer à l’autotomie alimentaire d’un territoire bien en amont de la ferme.
Trois exemples pour illustrer la sortie des terres agricoles du marché, tout en garantissant dans le temps un usage paysan. La Société Civile des Terres du Larzac créée en 1985 suite à une lutte emblématique contre l’extension du camp militaire, gère aujourd’hui 8000ha de terres et plusieurs fermes. L’association J’enracine est une nouvelle foncière ancrée dans son territoire: l’Uzège. Terre de Liens, créée en 2003, possède 380fermes en France (4 en Cévennes). Son slogan « Faites pousser des fermes » s’adresse aux citoyens et citoyennes souhaitant participer à maintenir une activité paysanne bio.
«Autrice romantique révolutionnaire», essayiste, chroniqueuse, ex-conseillère régionale Rhône-Alpes, Fondation Copernic et Mouvement Utopia
Après avoir présenté ce que pourraient être les perspectives climatiques pour notre région et ce qu’elles impliqueraient en particulier pour l’eau et la végétation à partir des données existantes et de différentes modélisations, nous verrons de quelle manière et dans quelle mesure la forêt pourrait jouer un rôle déterminant et atténuer les chocs à venir. À travers deux exemples de réalisation, de gestions concrètes, nous imaginerons une forêt idéale qui serait non seulement le fruit du travail des forestiers mais aussi des citoyens et des autres acteurs d’une innovation collective.
Les balades
Pour les cultures en montagne cévenole, il est bon de restaurer le patrimoine de murs en pierre sèche. Mais nous avons observé qu’il y a eu rupture de transmission de savoirs dans la gestion de l’eau sur les terrasses pendant les épisodes cévenols : par le non respect de certaines règles, des maîtres reconnus en pierre sèche ont fait tomber autant de murs qu’ils n’en ont remontés. Il pourrait bien être aussi utile d’éviter que les murs existants continuent de s’effondrer. Le but de cette randonnée au départ de l’Espace Paulhan, est de commencer ensemble à retrouver les clés de la préservation de l’existant.
Pour ne pas oublier ce que feu Norbert Gomez a mis en lumière dans le début des années 2000 avec le « Projet Ressources en Eau », dans le vallon de Valescure, Peyrolles. Les cévenols ont trouvé comment faire certaines terrasses en économisant l’essentiel du travail, à savoir le terrassement : En bâtissant par étapes des murs dans les cours de ruisseaux, c’est la nature qui s’est chargée de combler derrière avec de l’arène granitique ou schisteuse. Ces énormes quantités de sable se gorgent d’eau comme des éponges, au cours des épisodes cévenols. Cette eau représente alors 20% du volume du sable qui la retient. Son écoulement est lent, et grossit de barrage en barrage. Par cette randonnée, nous allons découvrir sur site comment les cévenols ont créé de toutes pièces des sources pérennes.
Ateliers et animationsde 10h30 à 17h30au Parc Paulhan
Découverte de la forge et de la soudure
10H30 / 12H30 & 14H00 / 17H30 Accueil : Un atelier de 2/3 personnes toutes les 30 minutes.
Découvrir les multiples usages de la terre dans la construction. Apprendre à faire des briques en terre crue, construire un four, enduire une construction bois/paille, s’initier à la bauge et au pisé. Cinq ateliers pour mettre la main à la terre.
L’atelier a pour but de sensibiliser les personnes au travail de la pâte à pain au levain naturel , à l’utilisation d’ingrédients cultivés et récoltés en respectant le cahier des charges de l’agriculture biologique. Par l’intermédiaire de la pâte se tisse des échanges, un partage de savoirs, des transmissions de valeurs. Un toucher sensible, des saveurs, des odeurs… Appel à nos 5 sens pour faire ensemble du pain, des gâteaux à la cuisson au feu de bois. Renouer avec ce savoir ancestral et nous redonner le goût de la simplicité et de la convivialité.
10H30 / 12H00 : Préparation pâte et échanges autour du levain 14H00 / 15H30 : Façonnage des pains 16H00 / 17H30 : Cuisson Accueil 10 personnes.
Nous découvrirons différentes techniques de façonnage de l’argile, au colombin, à la plaque, au tour, afin de fabriquer puis décorer des diffuseurs d’eau très pratiques pour gérer l’arrosage des plantes d’intérieur.
EVEJ est un réseau d’assos d’éducation populaire qui œuvre sur 3 axes: la prévention des violences (interpersonnelles et systémiques), le développement des pratiques coopératives et des compétences psychosociales, la régulation coopérative des conflits. Pour en savoir plus sur le réseau : https://www.envies-enjeux.com/
“Découvrir la coopération en s’amusant”: A travers des jeux, nous interrogerons les relations d’une façon légère et joyeuse. De façon non-directive, nous accompagnerons les participant-es: à découvrir des pratiques favorisant l’entraide et l’authenticité, à expérimenter la coopération et de nouveaux modes d’inter-action, à s’interroger sur les spécificités, atouts et limites de la coopération.
« Approche coopérative des conflits inter-personnels (sensibilisation) »: De façon ludique, nous distinguerons les différents types de conflits inter-personnels et nous évoquerons les conflits d’origine systémiques. A partir de nos expériences, nous nous poserons des questions comme: Qu’est-ce qu’un conflit? A partir de quand un désaccord devient-il un conflit? Quelle(s) définition(s) à la violence, l’agressivité, etc.? Quelle posture, quelles pistes pour aller vers la régulation?
Découvrir le coopération en s’amusant 10H30 / 12H00 Approche coopérative des conflits… 14H00 / 16H00 Accueil : 20 personnes max
Dans cet atelier, nous imaginerons la cabane de nos rêves si nous n’étions pas plus grands qu’un lutin. Ce sera à nous de rendre cette cabane réelle à l’aide de ce qui nous entoure !
10h30 / 12h & 14h00 / 15h30 Public entre 4 et 9 ans
Nous sommes en 1850 dans les Cévennes, à vous de rénover votre Mas dans les règles de l’art cévenol tout en surmontant les obstacles de la vie paysanne. Jeu de gestion de ressources sur le support d’une maquette.
10h30 / 12h & 14h00 / 15h30 Public à partir de 9 ans, entre 3 et 8 joueur.euses
Petite lutherie Paysanne languedocienne en Canne du Languedoc. Nous fabriquerons au cours de ces trois ateliers différents instruments de musique de facture simple, communs à la plupart des cultures paysannes méditerranéennes, grâce à un matériaux fantastique : la canne du Languedoc (Arundo Donax) Nous prendrons un temps pour apprendre à en jouer ensemble. L’atelier est ouvert à tous les âges . 10H30 / 12H00 & 14H00 / 15H30 & 16H00 / 17H30 Accueil : 6/8 personnes
« Comment monter une yourte ? » 10h30 / 12h30 et 14h00 / 16h00 Accueil 10 personnes
L’atelier se compose de deux partie : Un échauffement corporel et mental d’une trentaine de minutes. Ce temps permet de se rencontrer et de briser la glace. Puis des jeux d’improvisations en groupe et en solo pendant une heure. Ce temps permet de mettre en pratique ce qui a été abordé à l’échauffement et de s’amuser. » 10H30 / 12H00 & 14H00 / 15H30 & 16H00 / 17H30 Accueil 20 personnes max
« L’atelier Poème ton prochain : Poème ton prochain c’est un atelier pour tous, petits et grands, une petite fabrique de poésie où l’on joue avec les mots et les sens en s’amusant ; karaoké poétique, poèmes à jouer, puzzle poèmes et le fameux stand de figuration des paradoxes. Viens comme tu es, l’esprit libre et ouvert, pour partager les pépites poétiques que nous avons tous en nous. »
Accueil : En continu de 10h00 à 12h00 et 14h00 à 17h30
Animation dans la matinée et l’après-midi.
Accueil en continu
Un marché d’exposants : artistes, producteurs, associations locales,…
Le Village des Possibles pour réunir, réfléchir, agir
Les concerts-bals // espace Paulhan sur parquet MIEL inédit de 400m² !
Ils produisent un son brut et hypnotique associant des timbres et des percussions organiques aux ondes rutillantes de l’electro.
Les chants de femme et rythmes du Sud de l’Europe sont pulsés à l’électro-choc
DIMANCHE 19 OCTOBRE
Accueil et inscriptions aux ateliers à partir de 9h à Paulhan Buvette et restauration sur place
Conférences et tables rondes
Avec 10milliards d’habitants en 2050 et l’émergence de nouvelles classes moyennes en Asie et en Amérique latine, la production alimentaire devra faire face à de profonds changements de consommation. Certaines techniques agricoles paysannes permettent de relever ce défi d’une alimentation saine dans le respect des milieux, et garantir aux populations un revenu résilient face au dérèglement climatique. Mais leur mise en œuvre va à l’encontre de l’intérêt des lobbies.
Geckologis, un habitat participatif, intergénérationnel. Un projet à la gestation longue, aujourd’hui bien campé dans le local. La Logeuse, un collectif citoyen qui expérimente dans un petit bourg de Lozère autour de l’habitat social et d’espaces collectifs en achetant et en restaurant des maisons de village. Une implication bénévole au service du bien commun, une vision politique mais aussi une histoire d’amitié. Geneviève Blanc, Maire d’une petite ville aux portes des Cévennes nous parlera de ses réalisations et de ses projets dans un contexte différent de celui de La Logeuse, nous verrons que les attentes ne sont pas les mêmes et les freins non plus. Blandine Elain est élue à Rocles en Ardèche, commune qui vient d’initier un hameau réversible en partenariat avec l’association Hameaux Légers.
Après une courte présentation sous forme de film, nous pourrons échanger avec Anaëlle. « Revenir dans le sens du vivant» raconte les fondamentaux de l’agroforesterie syntropique. Une large place sera faite aux questions réponses: application concrète et professionnelle, adaptation au climat tempéré, recherches en cours, etc. Comment retrouver les logiques philosophiques et techniques pour retrouver rapidement des systèmes d’abondance ?
Les ressources mondiales en minéraux et en énergies fossiles décroissent rapidement alors que notre consommation augmente sans cesse. Face au basculement inévitable, nous devrons imaginer et construire localement des outils simples, durables et efficaces, pouvant assurer nos besoins fondamentaux. Nous découvrirons pourquoi la basse technologie est ainsi une promesse de résilience particulièrement adaptée au milieu rural !
Les résidences «mobiles» ou «démontables», inscrites dans le code de l’urbanisme et dans la loi d’avenir pour l’agriculture, l’alimentation et la forêt de 2014 (lois ALUR et LAAF), peinent pourtant à s’installer en zone agricole. Économes, écologiques et réversibles, ces habitats promus par les candidats à l’installation agricole, s’inscrivent pourtant dans les objectifs de développement durable fixés à l’action des collectivités en matière d’urbanisme par la loi Climat et Résilience du 22août2021. En effet, leur réversibilité assure «la préservation des espaces affectés aux activités agricoles et forestières» et la «lutte contre l’artificialisation des sols» (objectif ZAN 2050).
L’aide alimentaire ne peut être une fin en soi, parce qu’elle maintient ses utilisateurs en précarité et qu’elle permet aux agro-industriels d’écouler des surplus qui font partie du système de production au détriment de la production locale. La SSA (Sécurité Sociale de l’Alimentation) permet aux citoyens des devenir acteurs de leur alimentation et aux producteurs de vivre de leur travail localement en permettant au territoire de gagner en autonomie alimentaire. Nous étudierons l’expérimentation en cours de Montpellier et verrons comment une telle approche a tout-à-fait sa place en milieu rural.
Les lois sur l’habitat léger et réversible évoluent. Des réalisations locales sortent de l’ombre et des préjugés ce type d’habitat. Paul Lacoste (juriste d’HALEM, Association de défense des habitats légers) et Béatrice Mesini (chercheuse CNRS) ont tous deux contribué à faire avancer l’idée d’un habitat léger et réversible auprès de citoyens et d’élus. Ils ont aussi développé un plaidoyer fort auprès de nos instances législatives. Sur le terrain, des citoyens qui choisissent ce type d’habitat, se heurtent parfois à des élus locaux soucieux de faire appliquer des lois désuètes. D’autres élus, souvent dans des contextes plus difficiles démographiquement, s’emparent des dispositifs légaux pour soutenir cet habitat différent. Pour la plupart, ils cherchent à redynamiser écoles, commerces et agriculture.
Les balades
Pour les cultures en montagne cévenole, il est bon de restaurer le patrimoine de murs en pierre sèche. Mais nous avons observé qu’il y a eu rupture de transmission de savoirs dans la gestion de l’eau sur les terrasses pendant les épisodes cévenols : par le non respect de certaines règles, des maîtres reconnus en pierre sèche ont fait tomber autant de murs qu’ils n’en ont remontés. Il pourrait bien être aussi utile d’éviter que les murs existants continuent de s’effondrer. Le but de cette randonnée au départ de l’Espace Paulhan, est de commencer ensemble à retrouver les clés de la préservation de l’existant.
Pour ne pas oublier ce que feu Norbert Gomez a mis en lumière dans le début des années 2000 avec le « Projet Ressources en Eau », dans le vallon de Valescure, Peyrolles. Les cévenols ont trouvé comment faire certaines terrasses en économisant l’essentiel du travail, à savoir le terrassement : En bâtissant par étapes des murs dans les cours de ruisseaux, c’est la nature qui s’est chargée de combler derrière avec de l’arène granitique ou schisteuse. Ces énormes quantités de sable se gorgent d’eau comme des éponges, au cours des épisodes cévenols. Cette eau représente alors 20% du volume du sable qui la retient. Son écoulement est lent, et grossit de barrage en barrage. Par cette randonnée, nous allons découvrir sur site comment les cévenols ont créé de toutes pièces des sources pérennes.
Durée de la randonnée 3 h
Randonnée à la découverte d’une sylviculture prenant en compte : le changement climatique en favorisant : -la rétention de l’eau dans les sols – la biodiversité faune flore – le captage du carbone et servant d’outil pour la recherche.
Durée de la randonnée 3 h RdV à 1 KM 500 Avant le COL SAINT PIERRE Parking 20 voitures maxi. Chaussure de terrain, eau et éventuellement vêtement de pluie.
Ateliers et animationsde 10h30 à 17h30au Parc Paulhan
Découverte de la forge et de la soudure
10H30 / 12H30 & 14H00 / 17H30 Accueil : Un atelier de 2/3 personnes toutes les 30 minutes.
Découvrir les multiples usages de la terre dans la construction. Apprendre à faire des briques en terre crue, construire un four, enduire une construction bois/paille, s’initier à la bauge et au pisé. Cinq ateliers pour mettre la main à la terre.
L’atelier a pour but de sensibiliser les personnes au travail de la pâte à pain au levain naturel , à l’utilisation d’ingrédients cultivés et récoltés en respectant le cahier des charges de l’agriculture biologique. Par l’intermédiaire de la pâte se tisse des échanges, un partage de savoirs, des transmissions de valeurs. Un toucher sensible, des saveurs, des odeurs… Appel à nos 5 sens pour faire ensemble du pain, des gâteaux à la cuisson au feu de bois. Renouer avec ce savoir ancestral et nous redonner le goût de la simplicité et de la convivialité.
10H30 / 12H00 : Préparation pâte et échanges autour du levain 14H00 / 15H30 : Façonnage des pains 16H00 / 17H30 : Cuisson Accueil 10 personnes.
Nous découvrirons différentes techniques de façonnage de l’argile, au colombin, à la plaque, au tour, afin de fabriquer puis décorer des diffuseurs d’eau très pratiques pour gérer l’arrosage des plantes d’intérieur.
EVEJ est un réseau d’assos d’éducation populaire qui œuvre sur 3 axes: la prévention des violences (interpersonnelles et systémiques), le développement des pratiques coopératives et des compétences psychosociales, la régulation coopérative des conflits. Pour en savoir plus sur le réseau : https://www.envies-enjeux.com/
“Découvrir la coopération en s’amusant”: A travers des jeux, nous interrogerons les relations d’une façon légère et joyeuse. De façon non-directive, nous accompagnerons les participant-es: à découvrir des pratiques favorisant l’entraide et l’authenticité, à expérimenter la coopération et de nouveaux modes d’inter-action, à s’interroger sur les spécificités, atouts et limites de la coopération.
« Approche coopérative des conflits inter-personnels (sensibilisation) »: De façon ludique, nous distinguerons les différents types de conflits inter-personnels et nous évoquerons les conflits d’origine systémiques. A partir de nos expériences, nous nous poserons des questions comme: Qu’est-ce qu’un conflit? A partir de quand un désaccord devient-il un conflit? Quelle(s) définition(s) à la violence, l’agressivité, etc.? Quelle posture, quelles pistes pour aller vers la régulation?
Découvrir le coopération en s’amusant 10H30 / 12H00 Approche coopérative des conflits… 14H00 / 16H00. Accueil : 20 personnes max
Dans cet atelier, nous imaginerons la cabane de nos rêves si nous n’étions pas plus grands qu’un lutin. Ce sera à nous de rendre cette cabane réelle à l’aide de ce qui nous entoure !
10h30 / 12h & 14h00 / 15h30 Public entre 4 et 9 ans
Nous sommes en 1850 dans les Cévennes, à vous de rénover votre Mas dans les règles de l’art cévenol tout en surmontant les obstacles de la vie paysanne. Jeu de gestion de ressources sur le support d’une maquette.
10h30 / 12h & 14h00 / 15h30 Public à partir de 9 ans, entre 3 et 8 joueur.euses
Petite lutherie Paysanne languedocienne en Canne du Languedoc. Nous fabriquerons au cours de ces trois ateliers différents instruments de musique de facture simple, communs à la plupart des cultures paysannes méditerranéennes, grâce à un matériaux fantastique : la canne du Languedoc (Arundo Donax) Nous prendrons un temps pour apprendre à en jouer ensemble. L’atelier est ouvert à tous les âges . 10H30 / 12H00 & 14H00 / 15H30 & 16H00 / 17H30 Accueil : 6/8 personnes
L’atelier se compose de deux partie : Un échauffement corporel et mental d’une trentaine de minutes. Ce temps permet de se rencontrer et de briser la glace. Puis des jeux d’improvisations en groupe et en solo pendant une heure. Ce temps permet de mettre en pratique ce qui a été abordé à l’échauffement et de s’amuser. » 10H30 / 12H00 & 14H00 / 15H30 & 16H00 / 17H30 Accueil 20 personnes max
« L’atelier Poème ton prochain : Poème ton prochain c’est un atelier pour tous, petits et grands, une petite fabrique de poésie où l’on joue avec les mots et les sens en s’amusant ; karaoké poétique, poèmes à jouer, puzzle poèmes et le fameux stand de figuration des paradoxes. Viens comme tu es, l’esprit libre et ouvert, pour partager les pépites poétiques que nous avons tous en nous. »
Accueil : En continu de 10h00 à 12h00 et 14h00 à 17h30
Accueil en continu
13h30 : La criée des possibles (Gérald)
Un marché d’exposants : artistes, producteurs, associations locales,…
Le Village des Possibles pour réunir, réfléchir, agir
Clôture festive !
Cirque contemporain. Mât chinois, trompette et facéties.
La fanfare au groove survolté entraîne le public dans des compositions originales brassant le funk, le hip hop, le reggae, l’afrobeat et musiques latines.
Partant d’un récit personnel et sensible, le film retrace le cheminement du réalisateur Vincent Verzat, entre militantisme et naturalisme, sa recherche d’un équilibre entre combat et contemplation, traçant un chemin pour vivre dignement et affronter ce qui vient. https://partagercestsympa.com/
Cet événement ne vise pas à apporter des solutions toutes faites mais à proposer des orientations vers plus d’autonomie, de coopération et de résilience.
